Ecrite pour orchestre, en 1920, dédiée à son amie, Ravel nous donne une version de valse qu'il décrit lui-même de "tourbillon fantastique et fatal'. Vienne et ses valses romantiques n'était plus, la première guerre mondiale avait tout changé.
Elle a été jouée par les plus grands au piano, deux versions.
Martha Argerich et Nelson Freire (Argentine, Brésilien)
Transcrite par Glenn Gould (désolée en deux parties...)